mardi 1 octobre 2013

Ma chanson du rayon de soleil

A percer la lande nuageuse
qui es-tu, pour éveiller la foule paresseuse?
De là-haut...
Tu colores la peau.
De là-haut...
Tu réchauffes les animaux.
Après la pluie...
Un rainbow.


De là-haut...
Le feu brûle,
juste ce qu'il faut!
De là-haut...
Qui rosit le bleu marine,
en se posant en crème glacée jusqu'à fondre...
Sur l'eau...
Où l'environnement qui lui offre son repos?!...
Rayonner!
Réchauffer!
De là-haut...
Le moral est au beau.
Assécher...
Assoiffer...
C'est l'or qui n'est plus que du faux.


A Cadillac...
Tu te lèves le premier...
Près du lac,
l'aigle peut t'apprivoiser.
Au zénith,
Au coucher,
la forme ne change pas...
La couleur... Oui...
C'est un rayon de joie.
Avec les saisons,
tu nous tournes le dos...
Ou bien, tu nous souris, tu ris sans raison...
Jusqu'à t'installer comme il faut.

Rouge
Aube
Yeux
Oubliés
Néons déclinés...


Au ciel gratté,
des reflets dorés...
Chantent en mouvements de réversibilité.
La forêt écoute...
Elle associe des couleurs à ce chant.
Elle vit, meurt...
Comme la sève suit le mouvement.
Tous égaux...
Face à cet élément.
Il fait des bêtises
Dans l'évaporation...
Mais quoi que l'on en dise,
on connaît la chanson.
Pas de faux accords...
Dans la modération.
Ce poème n'est pas une incantation.
Apprécions cette mélodie...
... De la lumière en rayons.

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